Le Retour de Duako

Comme prévu, Yukiko a été donner Duako vendredi pour un lifting de son arrière-train gauche. Elle a reçu une March en échange.

Samedi, j’ai été porté la March pour reprendre Duako. En conduisant la March, j’avais l’impression de conduire un kart, mais avec beaucoup moins de reprise qu’un kart. En appuyant sur la pédale d’accélération, il fallait bien 2-3 secondes pour être sûr que j’appuyais bien sur la pédale d’accélérateur (une cylindrée d’un litre en automatique, forcément…vous noyez le moteur à chaque accélération). J’avais les jambes autour du volant. Un accident, et la March se transformait direct en cercueil. Quelle expérience fortement intéressante!

Mais je dois bien reconnaître que pour la conduite en ville, une March, c’est très pratique. C’est tout petit, ça se faufile partout, et on peut même la conduire avec les genoux. Par contre, confort minimum, et tableau de bord typique d’une Lada. Brrrh…je comprends tout à fait comment on peut vouloir acheter une March (aspect pratique), et peut-être que nous-même en aurons-nous une un jour, mais j’ai été quand même sacrément refroidi.

Et quel plaisir ce fut de retrouver Duako. On s’était habitué à sa taille (et en tout état de cause, ce n’est pas une grosse voiture), mais c’est incomparable à une March. 600 Km dans la journée avec Duako, no problem.

(une March)

2 thoughts on “Le Retour de Duako”

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *